Je ne sais pas vous, mais je ne vois pas trop où il veut en venir. Est-ce l'amorce d'une réflexion sur l'éthique de Diaspora, et des logiciels en général, qu'un logiciel n'est pas neutre dans la mesure où il est ce que ses utilisateurs/sa communauté en fait ? A suivre. Mais je trouve que c'est un texte bien long pour au final ne rien dire...