Pas une seule photos de mes enfants -ou de moi, ou de mon épouse, d'ailleurs- n'est visible en ligne.
Je ne comprends même pas les parents qui postent des photos de leurs gosses sur le web ou sur les réseaux "sociaux". C'est juste pour votre ego, c'est ça ?
Je suis tombé sur ce site l'autre jour : il recense énormément de films pour enfants. Je ne sais pas ce qu'il vaut, mais il indique pour chaque film un âge conseillé en fonction des thèmes abordés et des éventuelles scènes difficiles.
J'ai recherché certains films, les critiques et âges conseillés ne sont pas déconnantes.
Moui. Faut en prendre et en laisser hein. C'est le genre d'article hyper culpabilisant et qui fait bien flipper comme je les aime.
Mon conseil aux futurs jeunes parents : faites-vous confiance !
(j'aurais pu dire "N'ayez pas peur", mais c'était déjà pris)
Globalement, ce qui est dit dans l'article est VRAI. J'ai même entendu pire : certains médecins envisagent un lien entre la MSN (mort subite du nourrisson) et un environnement pas assez sécurisant sur le plan affectif.
C'est bon, vous flippez bien ?
Bon, on fait le point.
Ce qui a fait drastiquement chuter le nombre de MSN depuis 30 ans, c'est de faire dormir les bébés sur le dos. Le reste, ce ne sont que des supputations.
Pour ce qui est des pleurs, il est absolument évident qu'il ne faut pas laisser un bébé hurler pendant des heures, ni même pendant des minutes. Néanmoins, le cerveau d'un bébé, c'est un gros fouilli de connexions neuronales qui partent dans tous les sens, et comme le souligne l'article, il ne sait ni se repérer dans le temps, ni gérer ses émotions. Et pour un bébé de 15 jours, le moindre changement du train-train quotidien et un stimulus de ouf. Genre un chien qui aboie ou le vent qui fait bouger le rideau. Ainsi, le soir, bébé "décharge" le trop plein d'émotions, de stress, de je ne sais quoi -sans doute a t-il peut de la mort, mais ça me parait quand même capillotracté.
Il faut donc trouver le juste milieu entre la méthode années 60-70 du "arrêtes de le prendre dans tes bras, ça va faire un enfant capricieux" (demandez à vos parents comment c'était) et l'autre extrême consistant à se précipiter dans la chambre de bébé dès qu'il fait "Ou..." sans lui laisser le temps de faire "...iiin". Déjà parce que c'est épuisant pour les parents qui à cette période se lèvent déjà 2 ou 3 fois par nuits, et ensuite parce que ça apprend à l'enfant que si parent 1 et parent 2 (ou parent tout seul) se précipitent dans la chambre au moindre soupçon de pleurs, c'est que c'est grave, donc, c'est contre-intuitif, mais la sur-réaction ne va pas aider bébé à se calmer.
Après l'hospitalisation de notre deuxième enfant, nous avons été suivis pas une psychologue spécialisée dans le lien avec l'enfant ou un jargon du genre, ET par une personne de la PMI (protection maternelle et infantile). Je dois dire que c'est TRÈS bien, et que c'est quand même rassurant de voir qu'il y a des choses qui fonctionnent encore bien dans ce pays. Ce sont ces personnes qui nous ont donné ces précieux conseils que je retranscris ci-dessus avec mes mots.
Il va aujourd'hui très bien et c'est un adorable bébé de 5 mois qui sourit et rit beaucoup <3
Après, gardez bien en tête que tous les enfants sont différents, et même leurs parents sont différents d'un enfant à l'autre...
Gardez aussi en tête que les calins, c'est vital. Et pas que pour les bébés.
Leurs capacités cardio-vasculaires sont réduites. Leurs mouvements manquent de précision. Et leurs jambes... sont courtes. Mais selon une étude publiée récemment, nos enfants présentent une incroyable résistance musculaire à la fatigue et des capacités de récupération supérieures aux nôtres.
"Je confirme"
Un père essouflé.
Enfants et écrans.
Les "4 pas" :
On est bons \o/
J'ai été choqué par le mépris de certaines phrases ("Les conversations de bac à sable avec les mères de famille à 2 de QI pendant des heures"), mais j'ai surtout ressenti en lisant ce petit texte une grande souffrance, un sentiment de gâchis ("Pour au final te retrouver avec une grande avec qui tu es totalement et définitivement brouillé à la suite de saloperies de chez Saloperie, une 2e chez sa mère qui répond à tes SMS une fois tous les 2 ans et un 3e qui vit chez toi et te montre ce que c'est de vivre avec le clone de Joffrey Baratheon ?").
Pour ma part, je me sens infiniment plus proche de la position de Bronco, à la fois tendre, lucide et drôle :
En effet, si vous ne le sentez pas, ne faites pas d'enfants: vous n'êtes pas tenus de le faire, on s'accomplit soi-même beaucoup plus sans eux qu'avec eux...
Si vous avez des projets, des passions etc, dites-vous que tout passera au second plan 1.
Vous mangerez, dormirez, vous déplacerez, partirez, reviendrez, parlerez, vous tairez en fonction d'eux.
Tout. le. temps.Aimer ses enfants, c'est facile: ils sortent, on vous les donne, vous les aimez... c'est automatique, presque animal.
Les faire grandir et s'épanouir tout en survivant à l'opération, c'est plus dur.Il faudra savoir se faire passer en dernier tout le temps, savoir se dire non, pouvoir renoncer à plein de choses que vous aimiez avant, dire adieu au calme et au silence, pouvoir supporter qu'on vienne vous chercher et qu'on attende des choses de vous à toute heure, accepter de ne jamais rien mener à bien sans une quantité impressionnant d'interruptions[2]...
Comme je dis toujours, avoir des enfants, c'est bien parce qu'on n'est jamais tout seul mais c'est chiant parce qu'ON N'EST JAMAIS TOUT SEUL !
Et encore, mes gamins ne sont pas des tyrans ou des petits cons: ils sont affectueux, bien élevés (), profondément gentils, compréhensifs, intelligents... Je les aime au delà de tout et, comme tous les parents, je me jetterais au feu pour eux.
Mais ils ont tout le temps besoin de moi, s'embrouillent entre-eux pour un oui pour un non, entrent dans la phase où il faut répéter 5 fois par personne, viennent me chercher pour n'importe quelle broutille ou arbitrage, parlent fort (voire hurlent) quand on pourrait chuchoter, n'arrivent jamais à se mettre d'accord sur rien... c'est en quelques sorte le service minimum de la perturbation quand on a 4 enfants.
Ils sont une source de perturbations continuelle du matin au soir à tel point que si je veux m'adonner à une de mes passions, je dois attendre d'être seul chez moi.
Et je ne parle même pas des relations de couple: plus d'intimité, un/e conjoint/e qu'on ne fait plus que croiser comme un vulgaire coloc... et du coup, le soir, après le dernier coup de feu, il faut quand même aussi se retrouver, bavarder, se raconter des trucs: vivre une vie de couple... et non pas se mettre à ses projets perso.
Une époque, j'ai essayé de tout mener de front tout en prenant mon temps personnel sur mon sommeil après que mon épouse s'était endormie... ceux qui me suivent depuis longtemps savent que j'en ai fait un burnout.
Un jour, ma fille aînée m'a demandé si le burnout était de leur faute: je lui ai répondu que quand les parents vont mal, ce n'est pas la faute des enfants et je l'ai serrée dans mes bras.
Parce qu'après un tableau aussi sombre, il faut quand même dire ce qu'il y a de bien:
- eux aussi ils vous aiment, et pas qu'un peu: vous êtes le roc auquel ils s'accrochent dès que ça ne va pas, leur phare, leur repère (même si l'adolescence peut être dure). Si vous n'étiez pas là, une énorme partie de leur monde et de leur personnalité s'écroulerait.
- vous êtes accueilli par des «papaaaa» tonitruants, des câlins, des bisous et dès que vous sortez de leur champ de vision, ils demandent «où il est papa?»
- on est fier de ce qu'on a accompli avec eux: certes on n'a pas pu faire ce qu'on voulait quand on le voulait, on n'a pas pu se consacrer à ses passions ou sortir quand on le voulait, mais ça valait le coup... voir leurs personnalités se former, les voir devenir de futurs adultes intelligents, sensibles aux autres et à l'égalité, faire des projets, vivre des moments en famille, répondre à leurs questions, partir en vacances ensemble... c'est formidable.
- jouer avec eux: quand on renonce à faire ce qu'on voulait faire, on s'amuse vraiment bien avec eux: c'est comme ça qu'on se met à construire une cabane dans les arbres, un train légo, un circuit de billes, à entamer une partie endiablée de risk starwars ou de bonne paye et de s'y amuser vraiment...
- on peut les faire marrer facilement et croyez-moi, il n'y a pas grand-chose de plus satisfaisant que d'être à l'origine d'un incoercible rire d'enfant
- quand ils viennent en douce se glisser dans le lit parental pour chercher un câlin
- quand, peu rassurés ou profitant de l'absence de leurs frères et sœurs, ils viennent vous prendre la main. (je crois que leurs petites mains dans la mienne sera une des choses qui me manqueront le plus)
- vous avez des tonnes de choses à raconter, des aventures aux urgences aux petites phrases qui tuent (faudra que je fasse un post à ce sujet, qu'on se marre)
- vous vous sentez complice de beaucoup de parents et vos gamins sont souvent un prétexte pour entamer une discussion avec les gens (et tous ne sont pas des connards )
J'en oublie beaucoup, pris dans la tourmente du quotidien et des urgences journalières, mais c'est tout ça qui fait oublier les difficultés et les tonnes de couches (littéralement[3]), la merde, les pipis, les vomis, les rdv, le bruit, le manque de sommeil, les projets passés à la trappe...
Moralité, faites des enfants si vous le sentez, sinon... ben c'est pas obligé.
1 Pourquoi pensez-vous que je n'ai pas terminé BozonV3 ? parce que je n'ai pas pu m'y consacrer depuis trois ou quatre mois. Voilà
Quand je tente d'y replonger, on vient m'interrompre de suite.[2] Une fois, j'ai voulu noter toutes les interruptions que je subissais dans la matinée. J'ai pris un postit. Au bout de deux heures, j'attaquais mon 4 ème post-it après une quarantaine d'interruptions. Dans la seule rédaction de ce billet, j'ai été interrompu environ 25 fois par mon petit dernier... D'ailleurs, je tape cette ligne avec mon gamin qui me parle, colle ses doigts sur l'écran, me demande son avis sur son coloriage (que je lui ai imprimé pour l'occuper le temps de taper ce billet), me parle de minecraft etc.
[3] on sort des couches à peine maintenant (mon dernier ne fait plus pipi au lit depuis début août), ça fait donc 13 ans de couches depuis la première. A trois couches/jour en moyenne (chiffre raisonnable compte-tenu du nb d'enfants)... environ 133603=14040 couches... à 16 balles les 50, environ 4500€... si on compte environ 300g de déjections par couche, mes gamins ont rejeté environ 4,3 tonnes de matières dans leur couches...
« Ça me remet à ma place, quotidiennement, en tant qu’être humain, d’être témoin de ce gâchis d’enfants qui n’ont pas accès à l’éducation », témoigne Emmanuelle, à ce poste depuis quatre ans. Car, finalement, peu d’élèves passés par les camions parviennent à s’insérer dans une scolarité normale. La faute, déjà, aux complications administratives. Certaines municipalités refusent tout bonnement d’ouvrir leurs écoles aux enfants des bidonvilles ou exigent toujours davantage de documents. Et les rares fois où les dossiers aboutissent, il suffit que le bidonville soit expulsé pour que les familles se retrouvent dans une situation telle que l’école, si chère aux enfants, ne soit plus accessible.
« Les expulsions détruisent notre travail, mais surtout elles détruisent leur vie », ont coutume de dire les trois enseignantes. Elles ont donc appris à aborder le sujet dans leur classe, en essayant de préparer les élèves quand elles ont vent d’une expulsion imminente. Clélia est toujours marquée par la réponse que lui a faite un de ses élèves l’an dernier, interrogé sur ce qui allait se passer. « Les policiers vont venir, ils vont tout prendre, tout casser. Les maisons, les affaires. Même la terre. »
Wooo pinaise, tellement vrai.
Je ne suis pas d'accord avec tout, mais il y a du vrai. Ses enfants, même si on se ferait couper en tranches fines pour eux, il y a quand même des fois où on voudrait les passer à la moulinette :p
Au mieux, j’aurais pu expliquer qu’un seul de leurs éclats de rire pouvait suffire à illuminer ma journée et à me rappeler pourquoi j’ai tant voulu devenir père. Mais ça aurait été un mensonge total.
Là, par exemple, je ne suis pas d'accord : un éclat de rire pardonne tout. Même les caprices les plus vils.
Depuis le début de ces vacances d’été, j’ai l’impression d’être une boule de flipper lancée à toute berzingue entre «Enfant 3» qui fait ses dents, «Enfant 2» qui voulait le verre rose alors qu’on n’a pas de verre rose, «Enfant 1» qui a demandé de l’eau gazeuse qui ne pique pas, «Enfant 3» qui a réussi à retirer sa couche pendant son sommeil, «Enfant 2» qui n’a pas réussi à atteindre les toilettes à temps, «Enfant 1» qui goûte des cristaux de litière alors qu’elle a bientôt 6 ans et un cerveau apparemment en état de marche, «Enfant 3» qui commence à ramper vers les prises électriques alors qu’on avait rien demandé, «Enfant 2» qui s’est mis en tête de tester des méthodes de strangulation sur sa sœur… Soudain, vous regardez votre montre, et il n’est que 9h43.
J'ai ri.
Pendant quelques minutes ou dizaines de minutes, je fais comme s’ils n’existaient pas. La partie de cerveau que je dédie à la parentalité est en veille, et seule celle qui se consacre à la lecture de mon livre est active. Le lâcher prise, c’est quelque chose qui se travaille.
Pas si facile que ça en à l'air. Surtout si l'on est un peu angoissé de nature. Est-ce qu'il ne va pas boire l'eau de javel pendant que je ne le regarde pas ? Et s'il fait un malaise tout seul dans sa chambre ? Et si un psychopathe rodait dans le jardin ? En fait le problème avec les enfants, c'est que quand tu les entends, ça te fatigue, quand tu ne les entends plus, ça t'inquiètes... (Je crois que Bronco avait posté une image rigolote sur son blog, du temps où il postait des trucs :p ça disait en gros "le silence est d'or, mais chez les enfants le silence est suspect")
EDIT : retrouvé http://www.warriordudimanche.net/data/images/messages_2/73ada1cb5302daf82e2246f7688d1913.jpg
via http://liens.nonymous.fr/?OjvY9g
Voir aussi cet article : c'est assez vrai, avant d'avoir des enfants, on à l'impression de faire beaucoup de choses dans sa journée ; une fois que l'on a [insérer votre quantité d'enfants ici], on fait les mêmes choses, tout en "gérant" en plus la progéniture.
Oui, mais le monde a changé, lui dit-on. Effectivement, répond-elle. Les voitures freinent mieux. Les aires de jeux sont tapissées de revêtements amortissants. Chaque adulte est équipé d’un téléphone portable. Les taux d’homicide n’ont jamais été aussi faibles et les rarissimes affaires de kidnapping sont quasiment toujours le fait de proches de l’enfant. Et pourtant, tout dans le comportement des adultes nous laisserait croire le contraire.
Punaise, c'est tellement ça :/
via Seb
Je propose de conclure cette discussion en citant trois grands philosophes :
Les enfants, c'est comme les pets, on supporte que les siens (auteur inconnu)
Avant, j'avais des principes ; maintenant, j'ai des enfants (Moi)
Le seul moment intéressant avec les enfants, ça se passe 9 mois avant leur naissance (Cixi)
EDIT : j'ajoute ça suite au dernier shaare du lapin :
Personnellement je ne veux pas d'enfants, mais les miens feront ce qu'ils voudront
Non, en fait faire un enfant ça met le couple à l'épreuve.
Se lever toutes les nuits, parfois plusieurs fois par nuit, pendant plusieurs semaines / mois / années pour ceux qui n'ont vraiment pas de chance, voir toutes ses habitudes de vie à deux explosées (parce que "chamboulées" c'est un peu faible), dire adieu aux câlins (vous m'avez compris hein) n'importe où, n'importe quand, parce que vous ne savez pas si vous allez dérangé ou pas XD... Et je ne parle pas des soirées entre amis qui deviennent des après-midi Lego ^^
Alors oui, soyez sûrs de votre couple avant : après, ce sera trop tard (et vous ferez souffrir un ou plusieurs enfants en plus de vous et votre conjoint, c'est quand même con).
Très bon, très vrai... très drôle >:-)
Celle-ci ma fait rire aux larmes : http://i.huffpost.com/gadgets/slideshows/452136/slide_452136_6052226_free.jpg (faut pas chercher !) mais j'aime aussi beaucoup celles-ci : http://i.huffpost.com/gadgets/slideshows/452136/slide_452136_6052238_free.jpg (légende : "Une petite colère qui s'est vite transformée en crise de nerfs parce qu'il ne rentrait pas dans le bus.")
Je voulais juste faire mon petit feedback suite à ces 3 liens, chacun intéressant à sa manière :
http://book.knah-tsaeb.org/?gg8_JQ
http://liens.vader.fr/?Ikbb-g
http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?K8qT5g
Le problème s'était déjà posé en janvier : http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?7Kk0mQ
Vu la façon dont les choses se sont passées la dernière fois (on a su depuis qu'on leur avait dit que des gens étaient morts et qu'ils étaient au ciel... mouais), vu que les gamins, ça sert à rien de leur cacher des choses, qu'ils finissent par savoir / ressentir / comprendre (et c'est du coup pire, parce qu'ils se rendent bien compte que leurs parents n'ont rien dit, comprennent que c'est quelque chose de grave, et gardent leurs questions et leurs peurs pour eux), nous avons décidés de lui expliquer, mais d'une façon adaptée à son âge (il a 4 ans). Pour qu'il ne se prenne pas la réalité dans la tronche, sans préambule, sans soutien.
Comme dit Vader, il faut adapter le discours en fonction de l'âge. On ne présente pas les choses de la même manière à 5 ans ou à 11 ans. A 5 ans, "des gens qui sont morts", ça reste un concept flou. "Tes parents t'aiment et sont là pour te protéger", c'est beaucoup plus concret.
Nous lui avons dit que des gens malades dans leur tête avaient tués d'autres gens parce qu'ils n'étaient pas d'accord avec leur façon de vivre. Que c'est pour ça que tout le monde était triste / inquiet.
Qu'il ne fallait pas qu'il ait peur, qu'il pouvait dire / poser des questions etc.
N.B. :
Voilà, c'était ma minute Marcel Rufo =)
Pour celles et ceux à qui la "théorie du djendeur" (LOL) ne fait pas peur, voici deux chouettes petits livres avec lesquels ils pourront pervertir leurs enfants et troller la manip pour tous : "On n'est pas des poupées" et "On n'est pas des super-héros".
J'y ai découvert des choses REN-VER-SAN-TES du style que les filles pourraient jouer au foot, les garçons à la poupée, et même qu'ils auraient le droit de pleurer, et pas qu'en cachette. Tsss, où va t-on j'vous l'demande mâme Christine.