Peut-être, plus simplement, personne n’a intérêt à organiser aux 3% des obsèques trop solennelles. Ni les pays qui ont transgressé l’objectif, ni l’Allemagne apparemment tétanisée par le risque du Brexit, ni la Commission, qui a sans doute intériorisé sa défaite politique, ni même les éditocrates perroquets de l’équilibre budgétaire, sentinelles qui viennent de prendre conscience de la désertion des généraux. La Commission, dit Cécile Ducourtieux, « espère que les medias ne vont pas trop s’en apercevoir ». C’est en bonne voie.
C'est même un doux euphémisme...