Je vous partage un extrait de ce commentaire sur Prey, que je trouve très pertinent :
Tout cela pour dire : Prey m'a enfin redonné cette sensation, dans un jeu moderne. Tout le monde dit que les bons jeux leur procurent un sentiment d'émerveillement et d'admiration digne d'un enfant, mais pour moi, c'était différent : en jouant à Prey, je me suis senti transporté dans mon enfance, dans ce que je croyais être une époque perdue des jeux. Ce sentiment de brutalité, de potentiel infini, imprègne tout dans Prey. J'ai essayé d'expliquer pourquoi je pense que c'est le cas, mais j'admets qu'il est difficile d'élucider complètement ce qui, dans le jeu, a fait cela pour moi. Je pense que c'est la combinaison d'un grand nombre de mécanismes complexes et profonds, qui ne sont pas trop balisés ou didactisés, dans un cadre continu, interconnecté et très crédible, avec une conception de quête non linéaire et organique - en plus d'avoir ce sentiment rafraîchissant d'être brouillon, expérimental, bizarre et ambitieux. Il y a probablement un tas d'autres facteurs auxquels je ne pense pas, mais c'est ma meilleure estimation des aspects de Prey qui m'ont permis de retrouver ces sentiments. - Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Je comprends tout à fait ce qu'il veut dire ; Prey n'est pas de ces jeux où l'on t’apprend un mécanisme qu'on t’explique en détail, quitte à le faire ensuite évoluer au fil du jeu, mais il fait partie de ce genre de jeux où l'on te donne un ou plusieurs grands principes, et ensuite tu te démerdes. Tu as un vague but final, des outils, tu fais ce que tu veux. Tu prends le chemin que tu veux, tu fais (ou pas) les quêtes secondaires, tu débloques ou pas tous les "outils", tu es tout seul et c'est toi qui décide. (je me rends compte en écrivant que : 1/c'est le pitch de Breath of the wild, je DOIS donc y jouer 2/ ce n'est évidemment pas aussi caricatural, les développeurs trouveront toujours un moyen pour te faire aller là où ils veulent s'ils le souhaitent).
Alors évidemment, c'est moins facile à vendre qu'un FPS ("tu vois un truc qui bouge, tu tires") ou qu'un RPG ("fais toutes les quêtes pour devenir très très fort" - oui, j'exagère à dessein, mais ne me dites pas que c'est totalement faux), mais c'est tellement plus gratifiant de se rendre compte que tout est interconnecté et que nos actions ont des conséquences. Tu tires sur un tuyau de gaz ? Ça explose / fait une grosse flamme. Tu as le pouvoir de prendre l'apparence de n'importe quel objet ? Tu peux donc passer sous la porte qui était fermée. Etc.
Alors je vais (encore, décidément, ce doit être le début du grand âge) me répéter : achetez Prey. C'est un très bon jeu, et comme il ne s'est pas vendu aussi bien qu'il l'aurait du, il est souvent bien soldé.
Une speedrun de Prey, commentée, détaillée, au pixel près pourrait-on dire. J'aurais jamais jamais cru que ça m'intéresserait, mais on ne s'ennuie pas une seconde.
Truc rigolo, Laink précise à un moment donné qu'il n'a jamais fini le jeu "en vrai", mais qu'il a fait à peu près 400 run...(je ne me souviens du nombre exact, ce devait être entre 300 et 400 de toute façon).
N.B. : pas grand intérêt si vous n'avez pas fait le jeu ^^
Si quelqu'un avait des compétences en quoi ? en maths ? C'est pour ouvrir un coffre, merci ^^
Un indice chez vous : la réponse est une suite de 4 chiffres.
Vous connaissez le type qui, réveillé par son bébé toutes les nuits, ne sachant déjà plus où donner de la tête pendant les vacances, et de retour au boulot, c'est encore pire, achète quand même un jeu auquel il est à peu près certain de ne pas pouvoir jouer ?
C'est moiiii !
Mais il était à - 80% !!!! J'étais obligé !!! Et depuis 10 jours il fait ses nuits. Le bébé, pas le jeu.
J'ai donc joué à Prey. Ma plus longue session de jeu à dû faire 20 minutes. Respect.
Pour le peu que j'en ai vu, c'est vraiment un bon jeu xD
C'est quand même le seul que je connaisse où tu te retrouves à tabasser une tasse à café parce que tu as peur qu'elle te bouffe. Mais quelle jouissance de surprendre la transformation d'un mimic (les aliens du jeu, capables de prendre l'apparence d'absolument n'importe quoi) du coin de l’œil, et de flinguer à 20 mètres un tabouret qui n'en est pas un.
Les principaux points qui démarquent ce FPS de ses petits copains :
On retrouve dans Prey des influences ou des clins d’œil à Dishonored (c'est le même studio, donc a le même gameplay "bac à sable"), BioShock, Half-Life (le début notamment, est un hommage appuyé à la scène d'ouverture de Half-Life, et le pied de biche fétiche de Freeman est ici remplacé par une grosse clé à molette. On retrouve aussi la combinaison. Et des monstres. Et l'expérience scientifique qui tourne mal.). L'influence de Bioshock se ressentant, de mon point de vue, dans la direction artistique (art déco) et la narration. Et, oh oui, ce jeu est tellement mieux que Deux Es : Mankind divided...
Du coup, pour le fun, je pose ça là : un type a reconstitué en lego une tourelle portable du jeu.
Achetez-le aux prochaines soldes ^^
Visiblement victime d’expériences qui lui ont coûté la mémoire, le docteur Morgan Yu se réveille à bord de Talos-1, tombée entre les pattes d’aliens polymorphes plutôt mal intentionnés. Pour éviter que la contamination ne s’étende à la Terre et n’éradique l’humanité, Yu doit détruire la station spatiale, au détriment de sa vie et de celle de ses coéquipiers. C’est un héros, mais aussi une proie : les aliens, redoutables, sont beaucoup trop rapides ou beaucoup trop puissants pour lui. Alors il ruse, les paralyse avec un pistolet à colle, les affaiblit d’une grenade bien placée – ou, idéalement, les contourne.
Laissez-moi deviner : ça ne finit pas bien.
Wooo ça y est, on a notre Half-Life 3 les gens.