Pas eu le courage de lire cette nouvelle catastrophe qui s'annonce.
Cette schizophrénie (qui ne doit pas être que française, mais on doit sûrement être parmi les "meilleurs" dans le genre) m'agace profondément. Quand l’État impose des règles, ne serait-ce que de sécurité, il se trouve toujours des gens pour dénoncer, qui le "carcan administratif", qui les "contraintes" imposées par un État forcément ignorant des "réalités" du terrain. Mais au moindre problème (catastrophe comme pour Xynthia, concurrence pour les taxis, augmentation du tarif des cigarettes pour les buralistes...), on voit bien souvent les mêmes, et sans la moindre pudeur 1/ demander à ce même État de venir à leur secours et 2/lui reprocher de ne pas avoir édicté assez de règles, de contraintes...
Cette phrase de l'article est particulièrement remarquable : "Aux avocats des parties civiles qui s'étonnent que le préfet n'ait pas "tapé du poing sur la table" face au maire de la Faute-sur-Mer et à son attitude dilatoire, aux conseils des prévenus qui tentent à leur tour de pointer la défaillance de ses contrôles, Thierry Lataste répond courtoisement que ceux qui reprochent aujourd'hui à l'Etat sa lenteur dans la mise en place des plans de prévention des risques étaient ceux-là mêmes qui exigeaient hier de sa part plus de concertation."
Mise au point sur les médicaments génériques, leur prix (et le prix des médocs en général ; l'article date de 2007, et le débat refait surface ces jours-ci...) et leur impact sanitaire.
Les nanoparticules de dioxyde de titane, utilisées dans de nombreux produits, des peintures aux crèmes solaires, peuvent altérer la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau des éléments toxiques.
« Ils évoquaient régulièrement les maladresses des sous-traitants, avec angoisse », raconte cette internaute. « Je me souviens surtout de la vanne qui alimentait un circuit de refroidissement et l’intervenant l’ignorait. C’est parce qu’un technicien s’en est avisé sans être mandaté d’une responsabilité de vérification que la vanne a été tournée du bon côté. Je me souviens aussi d’incidents commentés au fil des conversations et j’ai vu combien cette sous-traitance à bas coûts les inquiétait ».
Globalement chez les personnes en bonne santé, la grippe expose à un risque fort d’incapacité transitoire et de toux pénible, un risque faible de complication réversible, et un risque infime de décès.