Je ne veux pas ramener ma fraise, mais c'est un peu ce que je disais ici http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?7Kk0mQ l'autre jour : la violence est inhérente à l'humain, pas aux islamistes.
Et il va bien falloir que nous acceptions qu'un terroriste, qu'un nazi ou qu'un assassin sont aussi humains que Mère Teresa. Ils ont juste choisi (je sais, l'emploi de ce terme est sujet à caution, choisit-on vraiment, le libre-arbitre existe t-il etc. Cf. http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?c0QMwg) des modalités différentes pour employer leur humanité.
Vous pouvez être un saint ou un salaud. Mais ces deux extrêmes sont rares. La plupart du temps, nous nous tenons dans un confortable (et un peu lâche) entre-deux. On s'efforce de ne pas faire le mal, mais on se contente de seulement souhaiter le bien. Je me place, honnêtement, dans cette catégorie. :/
J'évoquais Einstein. Voici une citation qui lui est attribuée, sans doute aussi faussement que la fameuse phrase apocryphe de Voltaire, mais qui résume assez bien mon propos : "Le monde est dangereux non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire"
Or, ce que nous dit désormais la science-fiction, c’est que nous ne souhaitons plus être humains.