Épilogue de cette histoire farfelue : Netflix et le Conan Doyle Estate ont décidé d’abandonner la procédure en justice. Cela suggère que les deux opposants dans cette affaire ont trouvé un accord qui leur permet d’éviter une confrontation devant les tribunaux. Mais pour celles et ceux qui souhaitaient savoir si une cour de justice pourrait déclarer que des sentiments d’un personnage fictif pouvaient être protégés par le droit d’auteur, c’est une déception. Car c’est ce qui faisait tout le sel de cette confrontation : séparer méthodiquement, sur le plan juridique, l’évolution psychologique d’un personnage.
Tiens, j'avais loupé cette affligeante histoire.