Face à elle, responsables et agent·es de l’OFB, stoïques, lui rappellent que l’arme ne sert qu’en cas de légitime défense ou d’agression ; qu’à l’instar de n’importe quel autre service de police, ils ne sont pas à l’abri d’une menace ; que par le passé, deux collègues ont été assassinés au cours d’un contrôle « tout à fait banal ».
La ministre de l'agriculture préfère aller dans le sens de certains syndicats agricoles parmi les plus virulents (pour ne pas dire extrêmistes, ou extrêmement à droite), plutôt que de défendre ses agents. Grrr.
"Tous pourront utiliser un 'agent conversationnel' pour effectuer des recherches, préparer des courriers, des synthèses ou des comptes-rendus, assurer parfois aussi des traductions"
Vous savez qu'on a pas besoin d'une IA pour faire ça, hein, vous le savez ? Hein... dites ?
Cette course à l'IA comme des poulets sans tête est un cauchemar. Il n'y a plus de fric (soi disant) pour les hôpitaux, pour la culture, pour la justice, mais on va cramer des dizaines de millions ? de milliards ? pour un truc inutile. J'enrage.
La Direction Générale des Finances Publiques s’efforce de se positionner comme un des fers de lance de cette course effrénée à l’innovation. Les projets d’IA s’y multiplient : algorithmes de contrôle fiscal, Foncier Innovant détectant les piscines non déclarées, etc. Les personnels y ont-ils été pleinement associés ? Non. Solidaires Finances Publiques, première organisation syndicale de la DGFiP, a-t-elle été écoutée, entendue ? Certainement pas.
Au-delà des arguments techniques systématiquement mis en avant, se posent de réels choix de société. Quel service public souhaitons-nous ? Quels moyens techniques et humains veut-on valoriser pour lutter contre la fraude fiscale ?Solidaires Finances Publiques défend à la fois les compétences des personnels et une vision progressiste du service public. Si nous ne sommes pas opposés aux nouvelles technologies, nous refusons qu’elles soient déployées uniquement par souci d’économie et dans le but de supprimer des emplois.
Ni technophobes, ni technophiles, Solidaires Finances Publiques propose une vision technocritique des outils d’intelligence artificielle dans la fonction publique.
"Nous sommes dans une situation où le Rassemblement national n'est pas dans l'arc républicain. Sur un certain nombre de sujets, et l'on verra ce qui nous sera demandé, si nous considérons que c'est en contradiction avec les valeurs de la République telle que la liberté, l'égalité, la fraternité, la laïcité, et bien nous désobéirons !", précise Emmanuel Constant, principal d'un collège dans le Val-de-Marne et également élu socialiste en Seine-Saint-Denis, engagement qu'il assure avoir toujours mis à l'écart de son travail, jusqu'à présent.
Des mots forts, assumés par ces cadres, ces "serviteurs de l'Etat", rappellent-ils eux-mêmes, mais les signataires se basent sur le statut de la fonction publique. L'obligation d'obéissance hiérarchique peut cesser si l'ordre donné risque de compromettre gravement l'intérêt public.
Je me demandais pourquoi je me sentais angoissé.
Ça vient de me revenir.
Si on l'appelait Ministre de la Suppression de la Fonction Publique, tout deviendrait subitement beaucoup plus clair.
Je pse ça là parce que je n'aurais pas le temps de le lire.
En gros : le jour de carence dans la Fonction Publiqe n'empêche pas ces feignasses de tomber malade chef, on fait quoi ?
D'autant que le ministre omet en revanche de parler du dispositif de rupture conventionnelle, testé depuis 2020 à l'image du privé et dont 5 300 agents de la fonction publique d'État ont bénéficié rien qu'entre 2020 et 2022.
Oui, mais lourder quelqu'un parce qu'il est malade ou incompétent (je répète : "incompétent" n'est pas une insulte) ça coûte beaucoup moins cher qu'une rupture conventionnelle où (je simplifie) on multiplie un montant forfaitaire (qui augmente avec l'ancienneté) par le nombre d'année d'ancienneté. Bref, ça coûte un pognon de dingue. Et quand le double objectif est de casser le service public en récupérant du pognon, ça la fout mal.
Je pose çà là.
LOL. On voit que tu n'as pas connu la PFR toi. "Prime de Fonction et de Résultat" que ça s'appelait. Ère Sarkozy. Très intéressant d'ailleurs (je vais faire bref) : - le temps qu'on la mette en place pour tous les corps, tous les Ministères et toutes les catégories d'emploi... le gouvernement avait changé et on est passé à autre chose (voir ci-dessous)- la PFR, comme son nom l'indique, c'était 2/3 "Fonction" et 1/3 "Résultats" (c'est de la grosse louche hein, mais c'est pour que tu aies l'image en tête, c'est utile pour la suite)- et encore, avant il y avait la notation... mais bref, j'ai dit que je faisais court.
La PFR a été remplacée par le RIFSEEP, tu connais à ce que je vois. J'explique pour les autres, accrochez-vous à la table, c'est poilant. RIFSEEP, ça veut dire : "régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel". Partez pas, c'est con comme la lune en fait. Le RIFSEEP se compose de 2 parties : l'IFSE (Indemnité de fonctions, de sujétions et d'expertise) et le CIA (Complément indemnitaire annuel). Mais tout ça c'est beaucoup de mots pour revenir au schéma Fonction / Mérite. Sauf que par-rapport à la PFR, la part "Fonction" du RIFSEEP (l'IFSE), c'est plutôt 4/5, et la part "résultat", ce serait plutôt 1/5... Donc non seulement on continue à faire miroiter que "si tu bosses bien, tu auras une grosse prime", alors que c'est inéquitable, tout ça tout ça, mais en plus, la marge de manœuvre concernant ladite prime, qui n'était déjà pas faramineuse dans le système précédent, se retrouve avec ce système à décider si l'agent va toucher 5€ de plus/mois.
Mon avis : il faudrait supprimer tout ce bazar chronophage (et donc coûteux) et intégrer les 5€ directement dans la rémunération des agents...
Pour en revenir à la question de l'entretien, il y a peut-être un élément qui te manque : si tu as envie de faire chier ton chef, mais vraiment, tu peux faire durer l'entretien tout l'après-midi. Parce que comme tu l'as noté, lui il est obligé de te le faire passer... Mais sinon, oui, c'est du bullshit. Mais je connais des agents -et des syndicats- qui s'accrochent bec et ongles à ce bullshit comme si c'était la chose la plus importante de l'année, et déterminante pour leur carrière. Comme ce que j'écrivais plus haut l'illustre, ça l'a peut-être été a une époque (notation...) mais plus du tout maintenant.
Tu parles de lieu où se renseigner, je vais répondre à l'envers : je connais surtout des lieux où contester. Si tu ne passes pas ton entretien, on le remplira pour toi (ou pire, un jour tu tomberas sur un con qui sortira l'arsenal des sanctions, et il aura toute l'antériorité de tes refus successifs pour justifier la sanction ; fais gaffe) et tu seras censé l'avoir accepté, et ça te deviendra opposable. Par-contre, si tu passes ton entretien, outre le blabla de ton relai RH (promotion, avancement...), tu peux aussi le contester devant le TA. A toi de voir.
Il y a un élément qui me tracasse dans ta description : la loi Sauvadet (avec jurisprudences qui vont bien derrière) dispose qu'au bout de 6 ans de service effectif, un CDD doit automatiquement être transformé en CDI. D'où tout un tas de règle sur les périodes de carence, etc.
Tu dis être contractuel "depuis plusieurs années", du coup, ça me fait tiquer :
Après, la loi actuelle prévoit tout de même des conditions, mais j'ai l'impression à te lire que tu correspond à l'un des deux premiers cas :
Mais sans doute sais-tu déjà tout cela, et préfères-tu la formule du CDD, afin de forcer à recalculer ta rémunération tous les ans, comme tu l'explique ?
P.S. : c’est peut-être une faute de frappe, mais pour moi, un contrat d'un an qui débute en novembre de l'année N, s'achève en octobre de l'année N+1, pas en août.
Le juge des libertés et de la détention (JLD) du tribunal de grande instance de Grasse a ordonné la mainlevée de l'hospitalisation sous contrainte d'un fonctionnaire de 56 ans, en poste à la direction des territoires des Alpes-Maritimes. En « soins psychiatriques » depuis douze jours, Éric D., agent de catégorie A, avait été interné à la demande du préfet, qui n'est autre que son supérieur hiérarchique.
[...]
Éric D. avait, en effet, déposé une plainte pour « harcèlement moral » contre son chef de service, le 2 juin, soit deux mois avant son internement. Rétrogradé deux fois, privé de ses primes, il avait été suspendu de ses fonctions le 7 avril en attendant de comparaître devant le conseil de discipline – décision attaquée depuis par son avocat. « On lui reprochait d'avoir pris fait et cause pour des étrangers qui, après avoir fait la queue toute la nuit dans le froid, avaient été refoulés du bureau de l'accueil et de l'admission au séjour de la préfecture où ils venaient faire enregistrer leur demande », relate son avocate. « Miné par ces conflits à répétition et les pressions dont il faisait l'objet, mon client était dépressif. Mais ni son psychiatre ni son médecin traitant n'ont jamais décelé chez lui le moindre syndrome psychotique », jure-t-elle.
Ça pue, mais ça pue...
Terrifiant.
A llire.
Près de huit mois plus tard, force est de constater que nous avions raison. Ces derniers mois ont ainsi été marqués par les attaques contre l’école publique, qui s’inscrivent à la fois dans la logique libérale de démantèlement du service public d’éducation, et dans une visée réactionnaire de retour à l’école d’antan. Voici les quatre aspects principaux :
1/Tri social. Toutes les réformes du système éducatif convergent vers un seul objectif : faire de l’école un rouage majeur du tri social.
2/ Offensive réactionnaire. La période est marquée par une série de contre-feux réactionnaires allumés pour satisfaire une partie de l’opinion.
3/ Attaque sur les statuts. Le troisième axe d’attaques du gouvernement est une offensive d’ampleur contre les statuts et les droits des fonctionnaires.
4/ L’école-entreprise. Le vieux slogan de SUD éducation, “l’école n’est pas une entreprise” est malheureusement toujours plus d’actualité : management, contractualisation, privatisation (pensons aux officines de coaching scolaire).
J'ai d'abord pensé que cette enseignante avait enfreint le devoir de réserve -et c'est sûrement ce qui va lui être reproché- mais je vous laisse juger de la virulence du texte :
« Le grand chef blanc, écrivait-elle, a parlé treize minutes pour apaiser le ressentiment de millions d’indiens. Le grand chef blanc, au début de sa palabre, a prévenu que si les millions d’indiens continuaient de lui courir sur le calumet, il allait être intraitable pour rétablir l’ordre. Il en va de l’autorité du grand tipi de l’Élysée. Le grand chef blanc accorde une part de bison fumé supplémentaire pour les fêtes et chaque mois, les vieux indiens recevront une galette de maïs et une bouteille d’eau de feu ». Et plus loin, « Emmanuel Macron pendant treize minutes a montré son vrai visage, mains sur la table, yeux rivés au prompteur avec l’empathie du dompteur pour le lion. Saute dans le cerceau, français en gilet jaune ou pas, et ferme ta gueule.»
Un nouveau site à suivre du coup : https://dijoncter.info/
EDIT : un extrait du commentaire envoyé à l'Huma par Sophie Carrouge, la professeure en question :
audace suprême, j’ai cité ma fonction, enseignante, et le nom de mon lycée. Pour cette raison et d’autres peut-être, me voilà convoquée au rectorat de mon académie par le service des ressources humaines et je suppose que je devrais rendre des comptes à ma hiérarchie sur le « droit de réserve » aussi insaisissable que l’Arlésienne mais que j’ai apparemment bafoué. Et cela, c’est grave, plus grave que les violences policières contre nos élèves, plus qu’une réforme du lycée qui réinvente la lutte des classes, plus qu’un monde qui ressemble à une dystopie de roman d’anticipation des années 50. L’Education nationale a le sens des priorités. S’en prendre à une enseignante qui depuis 30 ans fait son travail et le fait correctement est une urgence beaucoup plus urgente que de proposer une réforme qui corrigerait les inégalités sociales et ne serait pas une machine à broyer les cerveaux et les cœurs.
EDIT du 21/12 : épilogue sans surprise : rappel au devoir de réserve
https://www.francetvinfo.fr/politique/une-professeure-de-dijon-convoquee-par-son-rectorat-apres-avoir-critique-emmanuelmacron_3109737.html
C'est donc presque 50 % de personnels supplémentaires arrêtés dans la fonction publique territoriale par rapport au privé. Un absentéisme qui, de surcroît, a grimpé de 28 % en dix ans, notamment à cause des accidents du travail, en hausse de... 53 % ! Mais les absences pour maladie ordinaire ne sont pas en reste, elles ont crû de... 44 % et celles pour congé de longue maladie de 15 %. La situation sanitaire ne s'est pourtant pas dégradée à ce point en dix ans en France.
L'analyse n'étant pas poussée plus avant, nous ne connaîtrons pas les raisons structurelles pouvant expliquer cette progression de l''absentéisme. Ah si : c'est parce que les fonctionniares sont tous des grosses feignasses. Suis-je bête.
Je pose ça là.
Sur le même sujet voir aussi http://www.alternatives-economiques.fr/xavier-timbeau/de-fonctionnaires/00012551 et http://www.alternatives-economiques.fr/de-fonctionnaires-cinq-contre-verites-de/00012668
Titrer le papier sur les fonctionnaires, et ne parler quasiment que des agents publics, il va falloir m'expliquer la cohérence...
Juste pour celleux du fond qui suivent pas :
Mais cette flexibilité concerne aussi le salaire des contractuels. Leur salaire n’étant pas établi par une grille officielle dépendant de leur emploi et de leur ancienneté, il est négocié entre le contractuel et l’administration, au cas par cas.
Faux. C'est peut-être vrai pour certains cas, mais les CDD recrutés pour accroissement saisonnier ou accroissement temporaire d'activité ont un indice fixé réglementairement.
Annick GIRARDIN, ministre de la Fonction publique a installé ce jour, la commission « Laïcité et Fonction publique ». Présidée par M. Émile ZUCCARELLI, ancien ministre de la Fonction publique, de la réforme de l’État et de la décentralisation, la commission a pour objectif d’apporter des réponses cohérentes et concrètes aux agents de la fonction publique et à leurs employeurs, aux questions qu’ils se posent quant à l’application du principe de laïcité et ses remises en cause.
Je ne l'ai pas déjà dit ça, que quand on a rien à de mieux à dire on parle de la laïcité et de sa défense ? Et bien voilà un bel exemple.
Juste pour les ministres qui n'ont pas bien écouté à l'école, quelques rappels : Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires. Loi dite loi Le Pors
- Article 6 : La liberté d'opinion est garantie aux fonctionnaires.
Aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut être faite entre les fonctionnaires en raison de leurs opinions politiques, syndicales, philosophiques ou religieuses, de leur origine, de leur orientation ou identité sexuelle, de leur âge, de leur patronyme, de leur situation de famille, de leur état de santé, de leur apparence physique, de leur handicap ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie ou une race.- Article 25 : Le fonctionnaire exerce ses fonctions avec dignité, impartialité, intégrité et probité.
Dans l'exercice de ses fonctions, il est tenu à l'obligation de neutralité.
Le fonctionnaire exerce ses fonctions dans le respect du principe de laïcité. A ce titre, il s'abstient notamment de manifester, dans l'exercice de ses fonctions, ses opinions religieuses.
Le fonctionnaire traite de façon égale toutes les personnes et respecte leur liberté de conscience et leur dignité.
Est-il vraiment nécessaire de rajouter encore quelque chose ?
A partir du 1er janvier 2016, la saisine du secrétariat de la commission de déontologie de la fonction publique pour les demandes de cumul d’activités et de départ dans le secteur privé sera entièrement dématérialisée.
Hop, un nouveau Code.
Présentation ici : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A10097
Téléchargeable au format EPUB sur la Documentation française : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/numerique/9782110771926-code-des-relations-entre-le-public-et-l-administration
EDIT : Mine de rien, c'est une petite révolution : la codification des bases du droit administratif (du moins dans sa partie rapports avec les usagers), jusqu'ici essentiellement jurisprudentiel.
Cependant, après avoir survolé le sommaire, c'est une codification de dispositions essentiellement législatives : règle du silence gardé par l'Administration (voir ci-dessous), procédures d'accès aux documents administratifs, dispositions de la loi de 1979 sur les rapports entre l'Administration et les usagers...
J'ai trouvé mes articles préférés ^^
http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=C4A1B6C2A63A570B4F726CE52028471B.tpdila12v_1?idSectionTA=LEGISCTA000031367617&cidTexte=LEGITEXT000031366350&dateTexte=20160101
Sous-section 1 : Exceptions à la règle du silence valant acceptation
Article L231-4 (différé) En savoir plus sur cet article...
Créé par ORDONNANCE n°2015-1341 du 23 octobre 2015 - art.
Par dérogation à l'article L. 231-1, le silence gardé par l'administration pendant deux mois vaut décision de rejet :
1° Lorsque la demande ne tend pas à l'adoption d'une décision présentant le caractère d'une décision individuelle ;
2° Lorsque la demande ne s'inscrit pas dans une procédure prévue par un texte législatif ou réglementaire ou présente le caractère d'une réclamation ou d'un recours administratif ;
3° Si la demande présente un caractère financier sauf, en matière de sécurité sociale, dans les cas prévus par décret ;
4° Dans les cas, précisés par décret en Conseil d'Etat, où une acceptation implicite ne serait pas compatible avec le respect des engagements internationaux et européens de la France, la protection de la sécurité nationale, la protection des libertés et des principes à valeur constitutionnelle et la sauvegarde de l'ordre public ;
5° Dans les relations entre l'administration et ses agents.
Article L231-5 (différé) En savoir plus sur cet article...
Créé par ORDONNANCE n°2015-1341 du 23 octobre 2015 - art.
Eu égard à l'objet de certaines décisions ou pour des motifs de bonne administration, l'application de l'article L. 231-1 peut être écartée par décret en Conseil d'Etat et en conseil des ministres.
DONC, on crée un nouveau principe (le silence gardé par l'Administration vaut désormais acceptation), on lui colle des exceptions dont le champ est tellement large qu'il rend de fait le principe inopérant, et pour "simplifier" encore un coup, on crée des exceptions à l'exception. C'est beau :)
Récapitulatif shaarlizé :
http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?ljBUHg
http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?azYsKg
http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?FYkzSA
http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?IOh2jg