Pourtant, alors que les données sont générées, analysées et consommées à une vitesse vertigineuse, notre emprise collective sur le virus est loin d’être parfaite. Malgré cette incroyable débauche d’outils et de chiffres, nous n’avons aucune idée du nombre exact de personnes qui ont eu le virus, qui ont été hospitalisées ou sont décédées à cause de lui – enfin, malgré de nombreuses lacunes, les données tentent d’en avoir une bonne idée, notamment sur le suivi des personnes hospitalisées ou décédées. Pour Taylor Shelton, ce problème provient d’une confluence de facteurs : une obfuscation active, une mauvaise gestion des autorités et une vague de désinformation sans précédent.
Une extension des "Décodeurs", pour lutter contre la diffusion des fausses informations. Je teste.