Lectures de vacances : 1 légende, 1 labyrinthe, 2 auteurs découverts

Pour ce retour, je vais donc vous parler de deux [1] livres lus pendant les dernières vacances [2] : Légende et L’homme dans le labyrinthe .

Ne cherchez pas de lien, ou de sens caché, c’est juste que je les ai lu l’un après l’autre pendant mes congés.

Légende

J’ai découvert l’œuvre de David Gemmell en 2019 avec Littérature de la pop culture ; il m’est revenu en mémoire en fin de lecture [3] de Tribulations d’un mage en Aurient, 17ème tome des Annales du disque-monde, mettant notamment en scène Cohen le barbare : après la caricature burlesque du barbare, j’ai voulu en voir un vrai en action !

Le pitch en quelques lignes : Druss est une légende. Au soir de sa vie, au lieu de s’adonner au scrabble ou au jardinage, il choisi de se rendre dans la forteresse assiégée de Dros Delnoch, pour un combat à 1 contre 100, qui sera peut-être le dernier...

On est clairement dans l’archétype, pour ne pas dire la caricature, mais ça marche vachement bien. C’est de l’héroïc fantasy comme on l’aime, avec outre celui de Druss [4], quelques arcs narratifs que l’on se plait à suivre, et la mise en place, dans ce premier roman de Gemmell, d’un univers que j’ai à vrai dire bien envie de retrouver.

Le petit truc en plus ? Je viens de découvrir la petite histoire derrière ce roman en écrivant cet article : je reporte l’anecdote en note, car c’est quasiment du spoil. [5]

L’homme dans le labyrinthe

Je ne connaissais même pas Robert Silverberg, je suis tombé sur ce bouquin par hasard, j’en ai feuilleté les premières pages qui évoquaient un homme seul dans un labyrinthe rempli de dangers mortels, et le fait qu’il était venu là de son plein gré : l’envie de connaître la suite a été immédiate !

Je ne dévoilerai donc rien ici. Sachez simplement qu’on est plutôt dans de la bonne SF, que c’est là aussi mon premier livre de cet auteur, et que c’est une bonne surprise. Et que je lirai d’autres livres de lui.

J’ai découvert grâce à un commentaire ronchon sur Babelio que le roman s’inspirait du mythe de Philoctète (attention au spoil !) mais on peut parfaitement profiter se sa lecture sans savoir ça.