Là aussi, article à lire plus tard, j'ai sauté directement à la conclusion :
Pari gagné pour Ubisoft, qui a dû débourser pas mal pour la licence chez Lucas Film. La collaboration entre les studios d’Ubi, le studio Massive et le respect de la licence est tout simplement parfait. L’angle est original malgré tout ce qu’on a déjà vu sur Star Wars. En jeu vidéo, cet angle n’avait jamais été abordé. Le jeu offre, un univers très riche à découvrir, clairement dessiné à la Star Wars avec beaucoup de respect dans les détails. On s’y croit vraiment. J’ai évoqué les easter eggs, mais je n’ai pas parlé de l’ambiance musicale qui est aussi réussie tout autant que les doublages français. Il y a tellement a dire, l’article serait sans fin.
C’est un incontournable pour les fans, et un très agréable moment pour les gens qui comme moi, adorent la licence sans être fan absolue.
Avec le season pass à venir et deux nouvelles histoires jusqu’au printemps 2025, je reviendrai sur le jeu avec plaisir.
Et m... Je n'ai plus de prétexte pour ne pas l'acheter.
via Seb.
Cette annulation de The Acolyte pose tout de même de graves questions sur la stratégie globale de Disney. Il est difficile de comprendre pourquoi ils ont choisi de produire la série, avec l’opportunité parfaite de donner une voix à des minorités, et d’assumer cette direction, pour ensuite leur ordonner le silence, en annulant purement et simplement leur travail. Dans le cas de The Acolyte, le review-bombing négatif apparaît comme l’un des éléments ayant joué en défaveur de la série, laissant les positions réactionnaires gagner du terrain culturel.
Racisme, LGBTQIphobie... ça va toujours pas mieux du côté des fans de Star Wars.
En montrant un peu de gameplay, Ubisoft a réussi à exciter la rédaction, qui a frôlé l'hystérie. Pour preuve, ces phrases glanées entre la machine à café et le spa encastré sept places : « Ça vaut le coup de tenter », « je pourrais y toucher », « un Assassin's Creed avec un skin Star Wars, je vomirais pas forcément ».
Pour un AAA* d’Ubisoft chez Canard PC, c’est ce qui est le plus proche d’une foule en délire. C’est aussi la preuve irréfutable que nous n’apprenons jamais. Ubisoft Massive aux commandes, un monde ouvert beau à mourir, des combats, de l’infiltration, ça ne vous rappelle pas un cahier des charges récent ? Oui, voilà, Avatar : Frontiers of Pandora, du même studio. C’est la puissance de la licence : un Star Wars en monde ouvert, un coin de nos cerveaux veut y croire. Le même qui se dit face à une place de stationnement d’un mètre : « En manœuvrant bien, ça passe. Large. »
Mais c'est TELLEMENT ça.
J'ai trouvé ça mieux :)
Ah oui, quand même ! Faut vraiment que je regarde alors.
Coudifié. C'est vrai que Rogue One c'était bien, alors si la série Andor est aussi bien que le film..
Pour rappel, Star Wars Outlaws sera disponible en trois versions :
- Une version standard (79,99 euros)
- Une version Gold, comprenant le Season Pass, un pack bonus "Raid de Kessel" et un accès anticipé de trois jours (119,99 euros)
- Une version Ultimate comprenant les bonus de la version Gold, auxquels s'ajoutent deux packs : "Infiltrée Insaisissable" et "As du Sabacc", ainsi qu'un livre d'illustrations numérique. Le tout pour... 139,99 euros.
On continue avec nos copains d'Ubisoft, qui tente maladroitement d'éteindre l'incendie qu'il a lui-même allumé.
Question con : est-ce qu'une édition vendue 2 fois plus cher promet deux fois plus de temps de jeu ?
Hiiii ! 30 août !
J'ai très envie de l'aimer.
Je l'aime déjà.
Mais qu'est ce que les visages sont laids par contre.
Après six ans de chantier, le patron de Saber Interactive, qui vient de divorcer de l'éditeur Embracer, jure à IGN que le remake de Star Wars : KOTOR, l'un des meilleurs RPG des années 2000, est toujours en développement chez lui.
Youhouuuuu ! \o/
Modern "Jedi Engine" replacement supporting Dark Forces and the mods.
Incarner un chasseur de primes mandalorien ? Y'a moyen de faire un bon jeu si le studio en charge de développement ne salope pas le travail.
Mais pour l'heure, ON VEUT STAR WARS OUTLAWS !
Cette procédure judiciaire est soutenue et financée par Elon Musk, patron de X connu pour ses positions conservatrices.
Disney avait déclaré se séparer de cette comédienne spécialiste des arts martiaux à cause de ses "messages odieux et inacceptables" sur les réseaux sociaux, "dénigrant des personnes sur la base de leur identité culturelle et religieuse". Gina Carano avait notamment comparé le fait d'être conservateur américain à l'isolement des Juifs dans l'Allemagne nazie.
Quel dégoût... Dommage, j'aimais bien le personnage.
Ce truc est fou-dingue : l'épisode IV de Star Wars refait à la façon d'une gigantesque infographie de 123 mètres de long !
One story in one 123 meters-long piece. An adaptation of Star Wars Episode IV in a style that was inspired by infographics.
C'est du grand portnawak, non ? Déjà, tirer des conclusions géopolitiques à partir de 1 jeu mobile qui n'est plus commercialisé depuis 3 ans ça se pose là en terme de pertinence.
Juste un exemple ? La France, ce pays bien connu pour son histoire pas du tout liée à la colonisation, est dans la couleur du camp des rebelles "anti colonialistes et impérialistes", comment dire...
Bref, gros bullshit, mais venant d'un site comme jeuxvideo.com, je me demande même pourquoi j'en parle...
Ce RPG culte, développé à l’origine par BioWare et encensé par la critique (94/100 sur Metacritic), est fortement apprécié par les fans de la saga. À l’époque, les premières images avaient créé un engouement instantané. Près de deux ans plus tard, il vaudrait mieux tempérer les attentes, voire tourner la page, car les dernières nouvelles à son sujet ne sont pas très rassurantes.
Le remake de KOTOR ne verra probablement jamais le jour :(
Star Wars is the rare film whose influence on Hollywood cannot be overstated; following its smash success in 1977, theaters were hailed with a meteor storm of Star Wars cash-ins, rip-offs, and wannabes. Some imitators, like Battlestar Galactica, would prove surprisingly long-lived, while others like Space Mutiny and Laserblast (in which melting Mark Hamill action figure Kim Milford blows up a Star Wars billboard) would be destined for mockery on Mystery Science Theater 3000. Even film franchise elder statesman James Bond felt the space craze in the adaptation of Ian Fleming’s Moonraker, and classic science fiction properties Flash Gordon and Star Trek were revitalized for the big screen. Amid the mad rush to fill the gaps between the original Star Wars sequels, there emerged one colorful, campy space opera that became the archetypal Star Wars knock-off: Starcrash, a.k.a. the movie where David Hasselhoff is Princess Leia.
OH. MY. GOD.
Le nanard intersiral.
Trouvé initialement sur Mastodon.
Vous vous souvenez du duel tout mou entre Obi Wan et Darth Vader, à la fin de l'épisode IV ? Certains ont considéré que c'était essentiellement du aux limitations techniques de l'époque (et les gens qui l'ont vu au cinoche en 1974 ont du trouver ça vachement impressionnant, faut se remettre dans le contexte).
Mais bref : quelqu'un (ou un groupe de personnes, je ne sais pas) à refait cette scène, en intercalant les images réelles du film au milieu du duel rejoué de façon plus "moderne".
C'est impressionnant (et ça donne envie d'un remake des seuls Star Wars intéressant en dehors de Rogue One, c'est à dire les épisodes IV et V).
Prochaine série à regarder sur Disney +
Après Le Mandalorien, j'ai regardé Rogue One.
Sans exagérer, c'est de loin le meilleur de tous les films Star Wars.
Kay va en effet devoir vadrouiller entre les planètes malfamées de la distante bordure extérieure (si vous ne situez pas, c'est un peu l'équivalent Star Wars de la zone 5 de la RATP) afin de réussir le casse du siècle qui, enfin, lui permettra de mettre la daronne, ainsi que Nix, sa saloperie de petit alien velu, à l'abri. Autant vous dire que le programme est alléchant, sachant que les Star Wars qui s'intéressent aux aspects moins manichéens de l'univers sont souvent les plus intéressants et que, depuis l'annulation de 1313, on n'osait plus croire qu'un jeu nous donnerait l'opportunité de les explorer.
Oserai-je l'avouer ? Je suis bien plus hypé par ce jeu que par Starfield.
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