Je rentre de 3 semaines de congés.
Ces 3 semaines de congés font suite à une période de 11 jours de congés paternité + 2 semaines de travail.
Je suis quasiment tout seul au boulot, tout le monde est en vacances.
=> j'ai plein de choses à faire, dont des tâches rétro-planifiées pour le 06/09 ; le 30/08 ; le 21/08...
Pourquoi je dis ça ? Parce qu'hier soir je me suis couché en me disant qu'il faudrait que je sois au boulot tôt ce matin pour faire tout ce que j'avais à faire.
Et ce matin, contrairement aux matins précédents, je ne me suis pas réveillé avant le réveil, c'est le réveil qui m'a réveillé.
Paresse, fatigue ou fatalisme, je ne me suis pas dépêché plus que ça.
En arrivant, j'ai passé quasiment une heure à discuter avec des collègues. Des enfants, de la fin du monde imminente, de l'absurdité qu'il y a à concevoir les premiers vu l'état du second, et des progrès de l'industrie vidéo-ludique depuis 30 ans. Puis j'ai été me faire un café.
Dans la matinée, j'ai fait une pause Shaarli pour parler de Prey.
Il est 13h15, je vais aller manger.
Constat : j'ai très exactement fait la moitié des tâches que j'avais prévu de faire aujourd'hui, il est assez raisonnable de penser que l'autre moitié se fera dans l'après-midi.
Quelle moralité tirer de cette expérience ? Je ne sais pas, c'est à vous de voir. Pour ma part, j'aurais tendance à dire que si la pression est nécessaire pour me motiver, elle ne doit pas être confondue avec le stress, et que je travaille mieux (et plus vite) si je suis détendu.