Mais cette dernière [Facebook]est avant tout une entreprise commerciale, dotée d’une base de données gigantesque. Olivier Ertzscheid, enseignant-chercheur en sciences de l’information à l’Université de Nantes, explique le rôle qu’a joué le réseau social dans ce mouvement, les données qu’il a pu collecter et le risque d’une potentielle utilisation de ces informations à des fins de manipulation d’un scrutin. L’universitaire estime que rien n’empêche un scandale à l’image de celui de Cambridge Analytica de se reproduire lors d’un futur scrutin.
Vous trouvez ça inquiétant ? Vous avez raison.