En bref, une proposition de loi pour des prunes. Pour le pur plaisir de réécrire un texte dans l’autre sens, de faire croire qu’on agit tout en ne faisant rien. Et c’est bien dommage car sur le portable à l’école il y aurait matière à réfléchir. Notamment sur comment faire respecter cette interdiction. Mais se poser cette question, c’était ouvrir le risque de parler financement des écoles, car faire respecter l’interdiction du portable demande des moyens.
Bon courage donc aux chefs d’établissements, pour qui cette proposition de loi ne va rien changer et qui n’auront rien de plus pour faire appliquer cette interdiction inapplicable.
Ah ils sont forts. Ils sont très très forts.