Sur une feuille, deux enfants sont dessinés. L’un dans une posture de domination, l’autre représentant la subordination. Aucun des deux personnages n’offre le moindre indice sur son genre et pourtant, ”à partir de quatre ans, une large majorité d’enfants considère que le personnage dominant est un garçon”, rapportent les chercheurs dans un communiqué du CNRS.
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“On a, au niveau global, une tendance à associer masculinité et pouvoir mais avec des variations selon le genre des participants dans certaines expériences”, résume-t-il.
via Tommy