A terme, la reconnaissance du syndrome d'épuisement professionnel pourrait donc entraîner une hausse du coût du travail, le taux de cotisation d'une entreprise dépendant du nombre d'accidents du travail et de maladies professionnelles. Mais à l'inverse, elle pourrait inciter à de meilleures politiques de préventions, qui auraient sur le long terme un effet bénéfique sur la santé, et in fine sur le coût du travail.