Selon la responsable juridique du groupe Gallimard, le montant du préjudice financier serait « très important », sans pour autant avancer de sommes. Mais plus encore, cette approche pirate aurait « porté atteinte à la rémunération des auteurs ». Ou plutôt à celle des éditeurs qui avaient contractualisé avec les auteurs, n’ayant pas su correctement lutter contre la contrefaçon que représentait la Team ? Cerise sur le gâteau, cette entreprise de piratage aura également nui « à la diversité culturelle, les gros succès permettant de financer d’autres auteurs ». Là encore, les chiffres manquent pour appuyer les assertions.