Contrairement à ce que l’on a pu dire, Goldorak n’a pas fait qu’enseigner la violence aux petits Français, il leur a aussi appris qu’un migrant ne quitte pas forcément sa terre par gaité de cœur, et que quel que soit l’accueil qu’on lui réserve, il peut aussi garder au fond de lui l’envie d’y retourner.
On aurait bien besoin d'un nouveau Goldorak.